La Force (réédition)
Ces nuits dans tes bras,
je les veux sans fin !
Quelle Force !
Il suffit que tu m'ouvres tes bras
et là tout contre toi,
la fatigue, l'angoisse, la lassitude
la peine, tout ce fardeau qui m'assaille
qui me tue,
est tout soudain absorbé, oublié, évaporé...
Quelle Force !
Là perdu dans cet écrin de douceur
je puise tout contre ton sein,
une paix sans mots, sans âge
Une paix qui se teinte de volupté
au contact de ta peau, de ton ventre rond
de tes seins de lumière,
Je mesure à cet instant, dans un sommeil léger,
l'absurde des luttes qui m'agitent
la simplicité et la beauté de ce monde
Ce monde, cette terre, aussi parfaite et belle
que tes fesses, que tes hanches fines
là tout contre toi... dans tes bras,
un sommeil merveilleusement étoilé.
Toi, ma Belle, ma tendre éternité.
contribution image : 2ème Jam Abelanet