Fénélon et la Fée du logis
Non pas, que la télévision me gêne, ni ta nudité d'ailleurs...
Mais, j'avoue qu'il m'est bien difficile de lire dans la même pièce que toi, Ô ma Fleur.
Toujours tu trouves à m'interrompre par d'incessantes questions ...
Et tandis que je te lance de petits regards furtifs, tes poses, soi-disant décontractées,
deviennent de plus en plus Lascives et Osées !
En faisant mine de rien...
la petite dévergondée... est toute écartelée sur le canapé...
Chez soi, quoi de plus naturel me direz-vous ?
Mais déjà, les Aventures de mon Télémaque ne font plus le poids !
De quoi faire rougir le brave Fénélon... et redresser la soutane de notre curaillon
Tu n'arrives pas à lire ? Peut-être veux-tu que je baisse la télé ? me demande t'elle presque naïvement
Renoncant à mon éloignement, je viens m'asseoir près de ma Fée et tente désespérement de reprendre ma lecture, perdant négligement l'une de mes mains dans sa merveilleuse et abondante chevelure...
Mais, elle ronronne à présent, et plus fort qu'en parlant !
Tandis que mon esprit se replonge dans la prose ancienne, des doigts légers, habilent et furtifs, glissent dans mon pantalon.
SURTOUT, Il me faut fuir son regard et rester de marbre dans mes pages, d'un autre âge...
Ses doigts légers libèrent d'un coup la raideur qui rendait si étroit mon vêtement.
Ses lèvres embrassent tendrement l'objet de sa convoitise...
J'en ai le souffle coupé !
Au diable Fénélon et ses vertueuses leçons... j'enlève mon caleçon !
Mais Madame, se retourne aussitôt et s'allonge de tout son long...
Ooh! La Méchante allumeuse...
Que n'irait-elle inventer pour me tirer de mes studieuses leçons ?
Certes, ses jambes écartées, sont du plus bel effet... je l'avoue et me laisse maintenant, bien volontier tenter par ses tendres voluptées...
Très Chère, je n'irais pas cette fois, jusqu'au bout de la petite inquisition.
Vous avez réveillé le vilain garçon !
Et mon pénis si bien érigé par tes doux baisers, n'a désormais qu'une envie
Secouer sa petite Fée sur le nouveau canapé...
Mais, j'y pense,
Etait-ce donc cela la raison, à vouloir l'acheter expréssement ?
...
Oh mon Dieu !
Messieurs... croyez-le...
nous sommes bel et bien Manipulés !
texte Priam - leçon de choses.canalblog;com / Image 1 Priam, Image 2 nu banquette sur moteur de recherche, image 3 Dos de mon Fénélon de 1778, image 4 curé sur moteur de recherche, image 5 morey, image 6 tableau magnifique mais je n'arrive pas à retrouver l'auteur...
A-venir
Je suis Fou. Ne le sais-tu donc pas ?
De cette folie qui rend les Hommes sages.
J'ai envie de respirer ta peau,
être tout imprégné de Toi,
ce matin
et tous les autres.
Mais ce matin plus encore
Me saisir de toi
de la beauté de ton corps.
Méfies-toi mon Amour
Une rigueur inébranlable
alterne ma raison
...
Ce matin,
je bande à déraison
Kitchen Coïtum
C'est un Homme aux pas lourds, aux muscles bandés qui vient à toi.
Je rentre du travail, et le feu du désir qui brûle dans mes veines, aiguille mes pensées de façon douloureuse, vers un seul objet :
Toi ...
Depuis le temps que tu me nargues dans cette cuisine. Depuis le temps que tu fais naître le désir sans l'éteindre,
me suggérant que je suis seul responsable de cette situation... Insinuant quelques lâchetés de ma part, face à l'intensité de tes pulsions...
Il est temps, que tu récoltes ce que tu as semé, chère Amie, tendre Aimée.
Je suis un Mâle dominant ! Un Mâle Puissant !
Ma verge gonflée à l'extrême, dure comme l'acier, dicte mes gestes, mes mouvements.
Ma main, dans ta chevelure, n'est déjà plus une caresse. Elle agrippe cette crinière, belle Enfant sauvage, et mes baisers à ta nuque, laisse sentir mes dents...
Je te retourne, abaisse ton vêtement, et implacable, te plaque sur la table. Les fesses à l'air, tu n'en demeure pas moins, rebelle et fière. Je t'écarte fermement et sors mon sexe, droit et vaillant.
Un Mâle dominant ! Un Mâle Puissant !
J'ajuste l'arme du châtiment et te pénètre dans ce mouvement.
Le feu que tu avais fait naître se libère enfin ! Mes hanches claquent ta fesse sans ménagement. Tu enrages, et cela me donne plus de force, plus de courage.
Ma main te maintient courbée, tes seins s'écrasent sur la table. J'admire de loin, de très haut, ton dos superbe et blanc, ta coiffure égarée...
Ton souffle est court... et sans fin, je poursuis ma lutte et te laboure. Ô ma Fée !
Mais, je ne suis pas qu'un être infâme et tandis que tu te pâme, mon autre main cajole, malgré mon allure folle. Elle agrippe doucement, tes petits poils soyeux et pose un doigt sur le haut de ta fente en feu.
Superbe dans ta défaite, tu m'entraines dans ta retraite.
Armés d'un ultime courage, tes doigts remontent sur ma queue et s'agrippent à mes bourses.
Puisque tu le veux ainsi, nous serons deux dans cette chute, au terme de cette lutte.
Puis soudain, je me fige en toi.
Me disperse en mille éclats.
Je m' effondre...
m'infligeant ton intime brûlure, tu te ressert et me capture...
Ô Fée dangereuse,
tu m'as laissé venir à toi, pour me terrasser encore une fois !
(N'ayant que peu de temps en ce moment, voici pour égayer ce blog, un texte diffusé précédement le 9/03/2013 sur leçon de choses. canalblog).
Merci pour votre fidèlité et amitié.
Contribution image : Johnny weimuller, portrait femme David Chomar, image 3, 4, 5 internet auteur ?. image 6 Sandperfect.
boulot, métro et repos du guerrier ?
Non ! Je vous assure, je n'ai pas profité de la situation. Nous avions commencé bien avant de monter dans ce métro bondé.
Alors pourquoi ne pas poursuivre, puisque la foule nous dissimule si bien ?
- Pardon madame !
Mais la dame arbore un large sourire qui m'encourage. Pourtant mon bras frotte son sein tandis que ma main coquine s'agite sur ton ventre.
Mais cela n'a pas l'air de l'importuner plus que raison. Tant mieux...
J'oublie cette foule qui me presse contre toi mon Coeur. Là contre tes fesses sublimes, tu peux sentir l'émotion qui naît rigide, à travers mon pantalon.
Ma main poursuit sa descente jusqu'à ta ceinture. Oups ! une station !
Dans la confusion qui s'ensuit, elle se faufile dans ton vêtement.
Et mes lèvres à ton cou, te murmurent mille indécences.
Qu'importe la foule, il n'y a que toi et moi, ici et maintenant.
D'ailleurs ton attitude stoïque m'excite au plus haut point, je dois l'avouer. Tu fais semblant de rien. Tu ne peux même pas t'offusquer sous peine d'être découverte.
Alors mon ange, on assume plus ?
Mais non, je t'assure, personne ne nous regarde. Tu sais bien, que dans le métro,chacun regarde ailleurs. Cet ailleurs qui leur appartient
Alors, ma Fée, laisse moi encore profiter de ce voyage,
Là, hors du temps, hors du monde
et si doux, sur ta fesse ronde...
texte Priam, 1ère édition le 13/06/09, images internet
Raideur armée, raideur sacrée
Ce matin, je me suis
réveillé avec une
MEGA GAULE !
L'une de celle qui dure toute la journée...
Et point de Fée pour l'apaiser
Bref, je vais avoir l'air malin,
au boulot, ce matin
Avec cette gaule larvée,
qui perturbe chaque pensée !!!
Qui ne sera jamais au repos,
se redressant au moindre effort,
au moindre mot.
Ah ! ils vont
bien rigoler les copains
de mon infortune.
Me disant en s'amusant :
- Attention Garnement
Bientôt , la maison de redressement !
Mais qu'importe, ma Fée, tous leurs quolibets.
C'est pas ma faute, si dés le matin,
le feu brûle dans mes veines, Ô ma Reine.
Armé d'une infinie tendresse et d'une exquise patience,
tes baisers,
ont gonflé l'ogive de munitions sacrées, mille voluptés
cette raideur qui m'habite
est comme un missile armé
Armé de ta bouche d'Ange,
de tes lèvres de tendre amoureuse,
voilà que je bande tout le temps,
signe décadent de la fin des temps
Courage et pénitence mon Priam,
le soir venu
Ta Fée, à l'Emprise savante et la bouche Diabolique
bravera la lave, libèrera le feu,
ébranlant le monde
dans une succion Sacrée
Promesse d'Eternité
...
Texte priam - leçondechoses.canalblog.com , images prises sur le net. Moteur de recherche yahoo.iaage 1, internet, image 2 cravate, internet, image 4 et 5 moteur de recherche yahoo, image 6, le site de Ninon, image 7 et 8 moteur de recherche yahoo. Si vous connaissez le nom des auteurs de ces images, je serais heureux d'y adjoindre leurs références d'auteur.
La Force (réédition)
Ces nuits dans tes bras,
je les veux sans fin !
Quelle Force !
Il suffit que tu m'ouvres tes bras
et là tout contre toi,
la fatigue, l'angoisse, la lassitude
la peine, tout ce fardeau qui m'assaille
qui me tue,
est tout soudain absorbé, oublié, évaporé...
Quelle Force !
Là perdu dans cet écrin de douceur
je puise tout contre ton sein,
une paix sans mots, sans âge
Une paix qui se teinte de volupté
au contact de ta peau, de ton ventre rond
de tes seins de lumière,
Je mesure à cet instant, dans un sommeil léger,
l'absurde des luttes qui m'agitent
la simplicité et la beauté de ce monde
Ce monde, cette terre, aussi parfaite et belle
que tes fesses, que tes hanches fines
là tout contre toi... dans tes bras,
un sommeil merveilleusement étoilé.
Toi, ma Belle, ma tendre éternité.
contribution image : 2ème Jam Abelanet
Etreintes mystiques
Crinière au vent, narines palpitantes
écume à nos flancs
le temps précieux suspend son vol
à nos galops furieux
Là ou l'éternité nous fige
un instant, en un lieu
si proche, si proche
des dieux
...
Piqure de rappel !
Mesdames,
la saint Valentin est dans 2 semaines environ...
il serait temps de s'y mettre, non ?
image : matvpratique.com